Depuis un petit moment, Atrosa se demandait ce qui pouvait bien clocher dans ces relevés du compte caché sur lequel elle effectuait ses transactions avec le Russe. D'après Jimmy, l'informaticien qui lui avait instalé son PC, le problème venait de la banque elle-même, mais la jeune femme en doutait. Alors qu'elle détachait délicatement une feuille de la tige délicate d'une de ses plantes adorées, elle se disait qu'elle devrait arranger cela au plus vite. Tout en placant le fragment de végétale dans un ballon de verre ou frémissait une substance poisseuse, elle réfléchissait au moyen d'arranger ce problème qui portait le nom d'Iorek.
La fiolle qu'elle drulante qu'elle tenait dans une pince en bois se brisa sur le sol dans un bruit cristalin. Un poignard comme sorti du néan dans la main, elle se retourna vers l'ordinateur, sur le bureau massif. Le bruit que la machinne venait d'émettre n'avait rien de normal. Du moin pour elle ! Elle lacha un bordée de jurons en polonais avant de s'approcher, fesant disparaître son arme.Ayant recourt à Jimmy pour sa sécurité informatique, elle n'y connaissait rien à ces amas de métal ronflant et clignotant. C'est alors qu'un voix s'éleva des enceintes, la clouant sur place.
De plus en plus allucinée par le discourt que lui tenait son ordinateur piraté, elle ne pensait plus au contenu du précieux liquide répendu sur le sol qui dégagait à présent des relants âcres. Comment Jimmy avait-il put laisser passer sa ? Il lui avait garantis que personne ne pourait seulement soupsonner l'existance de ce qu'il appelait son "sous réseau". Et voila qu'on s'adressait à elle en personne !
Les révélations succesives ne la laissairent pas sans réactions : d'abord la suspicion, puis la curiosité avant de passer à la colère, à l'attention soudaine, à l'incrédilité pour enfin la laisser sur le désarois.
Au final, sa réaction fut d'envoyer un brutale coup de pied dans un élément quelconque de l'ordinateur. Elle pris peur et regretta son emportement en voyant l'image vasiller sur l'écran pendant un instant. La Crypte était sencé être l'endoit le mieu protègé, le plus sur et le plus secret, et voila qu'un dénomé Fusion en savait plus sur elle que l'ensemble des gens qu'elle avait cotoyer dans cette vie. Il était entré dans le systhème informatique de la Crypte, savait son nom, savait qu'elle s'était fait rouler par le Russe - ce qu'elle venait d'apprendre - connaissait l'existence de Démons chez cet urluberlu blindé, et de surcroit, savait l'existance du Grimoire ! Ce dernier point la mettait dans une rage folle.
Pour pouvoir réfléchire posément, elle utilisa le meilleur moyen de retrouver son calme à ses yeux : elle ouvrit une porte à la volée et déclancha deux minutes de carnage totale dans la salle d'armes. Alors que de la pièce s'élevait encore la pleinte des instruments rudements maltraités, Atrosa s'assayait dans le haut fauteil de velour violet à sa manière particulière. Les jambes passées par dessu un accoudoir, le dos calé contre l'autre, elle attrapa le clavier.
D'une volée infligée à la souris, elle ouvrit la fenêtre désignée par la voix énigmatique un peut plus tôt. Elle entra le code donné 474< ?echo : 827 465 ?> et attendit un bref instant, l'index en suspent au dessu de la touche "Entrée"
Elle ne pouvait reffuser, tout avait été arrangé dans ce but. Ce Fusion D'Aelia-San était d'une redoutable efficacité, elle ne pouvait rien faire. Il perce ses défenses apparament sans mal, il lui donne une information, il lui propose un marcher et lui fait une demande. Tout est claire et sans ambiguïtés : il a de quoi lui infliger de graves représailles.
- Diantre !
Et elle enfonca la touche, déterminée à en apprendre plus sur l'Ordre et son dirigent se disant Dragonoïde. En bas de son écran s'ouvrit une deuxième petite fenêtre dans laquelle l'image d'un micro clignotait. Apparament, son ordinateur était muni d'un micro. Encore une découverte.
Comme Fusion s'était exprimé en Esperanto, cette langue encore trop peut connus et fort pratique, elle se décida à répondre de même. La jeune femme, par habitude, modifia légèrement le timbre de sa voix, la rendant un peut plus grave que de naturel. Elle employa de surcroit un accent Slave, bien que cela ne modifiait pas grand chose. Mais par expérience, elle savait que souvent, les gens se font trahir par leur accent quand ils parlent une langue étrangère.
- Bonjour, D'Aelia-San Fusion.Ce que vous me dite la me surprend, et vous m'intriguez fort bien par vos paroles. Apparament, vous ne me donnez pas grand choix dans ma décision. Néanmoin, sachez qu'en ce qui concerne Iroek, je prévoyait déjà de m'occuper de son cas... Vous ne me contraignez donc pas à une chose que je me reffuserais à entreprendre. Je suis sure que vous comprendrez que je vous demande un délais afin de me préparer à cette sortie épique et que cela nous évitera à tous deux de petits désagréments.
Je vous avou que je ne sait pas comment vous m'avez trouvée et contactée, et commen vous le ferez à l'avenir. Ce soir, à 21 heure précise, vous me donnerez le moyen de vous transmettre les inforamtiopns nécessaires au bon déroulement de la balade.
Je précise que je ne me laisserais pas ammener jusqu'a vous. Je suis certaine que vous comprenez mon besoin irrépressible de rester en libertée, et que vous ne doutez pas que je ferais tout dans ce but si quoi que se soit d'imprévu se produisait.
Sur ce, à ce soir.
Salutations.
Et elle coupa le courant, laissant le temps au bruit de soufflerie de s'arrèter, immobile dans le silence des mur de pierre. Dans quoi s'était-elle embarquée ? Sentant enfin l'odeur particulière lui piquer les poumons, elle jura. Atrosa se leva d'un bon et attrapa un récipient rempli d'eau dont elle déversa le contenu sur le sol, diluant les effets du liquide répandu sur les dalles. Dans un froncement de narines, elle éponga le sol en prenant garde de ne pas toucher le produit. Si elle était prèsque immunisée contre ses vapeurs, le contacte avec le liquide lui était toujours très nocif.
Après ce brin de nettoyage minutieux, la jeune femme tira sur une cordelette qui ouvrit une petite trape vers l'extérieur, permettant aux vapeurs de s'échaper par ce moyen de ventilation invisible de l'extérieur.
- Merde, six heures de travaille perdue... Dans quelle entourloupe je me suis encore foutu ?
Attendant que les mur donnent une réponse à cette question posée dans un Italien parfait, elle commenca ses préparatifs.
[HRP]Suite de ce RP en Russie[/HRP]